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Augmentation mammaire Tunisie : Pose implant mammaire à prix pas cher avec Esthetika Queen

La chirurgie esthétique des seins en Tunisie avec Esthetika Queen

L a chirurgie esthétique des seins n’est globalement pas motivée en raison d’une pathologie, mais davantage dans un souci esthétique. En effet, quel que soit l’opération, elle a pour objectif d’améliorer l’aspect esthétique du sein et répondre à des demandes de quatre genres différents:

 

  • Les patientes peuvent considérer leur poitrine comme trop développée.
  • Des seins pas assez développés.
  • Une poitrine tombante.
  • Ou encore, que leurs deux seins ne sont pas symétriques.

 

On compte un grand nombre de possibilités pour augmenter le volume des seins, la remonter, optimiser sa forme ou encore réduire la taille des aréoles. Il n’est pas toujours nécessaire d’avoir recours aux prothèses, le lipofilling mammaire est aussi une solution.

I l est nécessaire de bien distinguer la chirurgie esthétique des seins, dont l’objectif est d’améliorer l’esthétisme, de la chirurgie plastique mammaire. Cette dernière comprend toutes les méthodes visant à reconstruire le sein et à restaurer sa morphologie initiale, on peut donc même parler de médecine esthétique.

Vous l’aurez compris, la chirurgie plastique mammaire est utilisée à la suite d’une mastectomie. Elle permet aussi de rectifier une malformation congénitale, une déformation mammaire ou un excès de glande ou de peau au niveau de la poitrine. Elle permet réellement de restaurer une harmonie au niveau des seins, qui convient à la morphologie de la patiente. Parfois, ces opérations sont prises en compte par l’assurance maladie, selon certaines conditions.


La chirurgie esthétique des seins en Tunisie avec Esthetika Queen

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a chirurgie des seins en Tunisie est devenue une option populaire pour les personnes qui cherchent à améliorer la forme, la taille ou l’apparence de leur poitrine. Avec des cliniques de renommée internationale et des chirurgiens expérimentés, la Tunisie offre des normes élevées en matière de soins médicaux et esthétiques.

Que ce soit pour une augmentation mammaire tunisie, une réduction mammaire tunisie, un lifting des seins tunisie ou une reconstruction mammaire tunisie, les patients peuvent s’attendre à des résultats exceptionnels grâce à l’expertise et à la technologie de pointe utilisées dans ces interventions

En quoi consiste la chirurgie seins tunisie ?

Pour de nombreuses femmes, avoir une poitrine trop petiterelâchée ou encore tombante est une véritable source de complexe d’où le recours à la chirurgie esthétique des seins.

En fait, grâce à ses différentes techniques et interventions chirurgicales, la chirurgie esthétique des seins permet aux femmes insatisfaites de la forme ou de la taille de leurs seins de retrouver une poitrine plus belle, plus féminine et séduisante.

La chirurgie des seins en Tunisie est-elle destinée uniquement aux femmes ?

Bien que, dans la majorité des cas, les personnes qui optent pour la chirurgie esthétique mammaire soient des femmes, cette intervention est pratiquée également chez les hommes.

Dans ce cas, il s’agit d’une intervention de gynécomastie qui s’effectue sous anesthésie générale et qui vise à traiter l’hypertrophie de la glande mammaire chez l’homme.

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Quelles sont les différentes interventions de chirurgie esthétique des seins en Tunisie ?

Qu’il s’agisse des seins tombants, relâchés, peu ou trop volumineux…la chirurgie esthétique des seins est la solution idéale pour traiter les imperfections innées ou acquises de la poitrine.

En effet, les interventions de chirurgie des seins sont réalisées sous anesthésie générale.

Par ailleurs, la durée de l’opération et d’hospitalisation varie en fonction du type de l’intervention.

Dans ce cadre, Esthetika queen vous propose les interventions suivantes :

  • 1- Augmentation mammaire tunisie : par implant mammaire ou par prothèse mammaire
  • 2- Lifting mammaire
  • 3- Opération réduction mammaire
  • 4- Gynécomastie
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Augmentation mammaire Tunisie : retrouvez des seins plus volumineux !

La chirurgie d’augmentation mammaire tunisie est une intervention de chirurgie esthétique mammaire qui a principalement pour but d’augmenter le volume de la poitrine.

En effet, il existe deux types d’interventions qui peuvent être pratiquées afin d’obtenir une poitrine plus volumineuse :

  • 1- Augmentation par implant mammaire : il s’agit d’augmenter le volume des seins grâce à la mise en place des prothèses mammaires
  • 2- Lipofilling mammaire : cette technique consiste à injecter de la graisse autologue au niveau des seins afin d’augmenter leur volume.

La chirurgie esthétique des seins en Tunisie avec Esthetika Queen

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ifting mammaire : la solution idéale pour corriger le relâchement et l’affaissement des seins !

Également connu sous le nom de mastopexie, le lifting mammaire est une intervention esthétique qui permet de remonter les seins tombants en éliminant les excès de peau.

En fait, le lifting mammaire est la solution optimale qui permet de corriger le relâchement des seins qui peut être dû au vieillissement ,aux grossesses, à l’allaitement ou encore aux variations pondérales.

Réduction mammaire : retrouvez la forme idéale de vos seins !

L’opération réduction mammaire est la solution adéquate pour traiter un problème d’hypertrophie mammaire.

En effet, cette opération repose sur l’élimination de l’excès cutané, la réduction du volume glandulaire et le repositionnement des mamelons et des aréoles.

Par ailleurs, il s’agit de réduire le poids et le volume des seins trop volumineux en retirant une partie de la glande et de la graisse. Cette intervention dépendra principalement de combien pese un sein normal, mais aussi de l’envie du patient.

 

 
 

 

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    La chirurgie esthétique des seins en Tunisie avec Esthetika Queen

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    'Augmentation Mammaire tunisie : Un Examen Complet

     Introduction

    L'augmentation mammaire est une procédure chirurgicale de plus en plus courante, pratiquée dans le monde entier. Elle vise à améliorer la taille et la forme des seins, offrant aux femmes un moyen d'accroître leur confiance en elles et leur satisfaction corporelle. Cet article examine les différents aspects de l'augmentation mammaire, incluant les raisons qui poussent les femmes à opter pour cette intervention, les types de prothèses disponibles, le déroulement de l'opération, ainsi que les risques et les complications potentielles.

    Pourquoi Opter pour une Augmentation Mammaire tunisie

    Les motivations pour subir une augmentation mammaire prix tunisie varient d'une femme à l'autre. Parmi les raisons les plus fréquentes, on trouve :

    • 1. Amélioration de l'apparence physique : De nombreuses femmes souhaitent augmenter la taille de leurs seins pour améliorer leur silhouette ou pour rétablir leur volume mammaire après une perte de poids, une grossesse ou un vieillissement naturel.
    • 2. Restauration de l'estime de soi : Pour certaines, des seins plus volumineux peuvent contribuer à une meilleure image corporelle et à une augmentation de la confiance en soi.
    • 3. Réparation après une mastectomie : Les femmes ayant subi une mastectomie en raison d'un cancer du sein choisissent souvent l'augmentation mammaire prix tunisie comme moyen de reconstruire leur corps.
    • 4. Asymétrie mammaire : Les femmes présentant des seins de tailles inégales peuvent également rechercher cette intervention pour obtenir une symétrie.

    Types de Prothèses Mammaires

    Il existe principalement deux types de prothèses mammaires utilisées lors de l'augmentation mammaire tunisie :

    les prothèses remplies de solutions salines et celles remplies de silicone.

    • 1. Prothèses Salines : Ces dispositifs sont constitués d'une enveloppe en silicone remplie d'une solution saline. Elles sont insérées dans le sein sous vide, puis remplies une fois en place. Cela permet des incisions plus petites. Toutefois, si elles se percent, le corps absorbe facilement la solution saline sans effet néfaste.
    • 2. Prothèses en Silicone : Remplies d'un gel de silicone, ces prothèses ont une texture plus naturelle et sont moins susceptibles de provoquer un aspect "gonflé" que les prothèses salines. Toutefois, en cas de rupture, le gel peut rester piégé dans la capsule formée autour de la prothèse, ce qui rend plus difficile la détection d'une fuite.

    Déroulement de l'Opération

    L’augmentation mammaire tunisie est généralement réalisée sous anesthésie générale et dure entre une à deux heures. Le chirurgien commence par faire une incision, souvent placée sous le sein, autour de l'aréole, ou sur le côté du thorax. L'emplacement de l'incision dépendra du type de prothèse utilisé et des préférences du patient.
    Après avoir créé une poche pour la prothèse, celle-ci est insérée et positionnée. Le chirurgien s'assure que les prothèses sont bien symétriques avant de suturer les incisions. Une fois l'intervention terminée, le patient est généralement surveillé pendant quelques heures avant de pouvoir rentrer chez lui.

     

    Risques et Complications Potentielles

    Comme toute chirurgie, l'augmentation mammaire tunisie comporte certains risques. Bien que la majorité des femmes ne rencontrent pas de complications majeures, il est important d'être conscient des effets secondaires potentiels :

    • 1. Infections : Comme avec toute intervention chirurgicale, une infection au site chirurgical est possible, nécessitant parfois un traitement antibiotique ou une intervention supplémentaire.
    • 2. Saignements et Hématomes : Des saignements peuvent survenir, entraînant la formation d'hématomes qui peuvent nécessiter une aspiration.
    • 3. Cicatrices : Selon le type d'incision, des cicatrices peuvent apparaître. Bien que les chirurgiens essaient de minimiser leur visibilité, certaines femmes peuvent développer des cicatrices hypertrophiques ou chéloïdes.
    • 4. Rupture ou Fuite : Bien que rare, une rupture de la prothèse, notamment en silicone, peut survenir, nécessitant une intervention corrective.
    • 5. Problèmes d'allaitement : Certaines femmes peuvent éprouver des difficultés à allaiter après l'intervention, bien que cela dépende de la technique chirurgicale utilisée.
    • 6. Capsulite contractile : Cette complication se produit lorsque le tissu cicatriciel se forme autour de la prothèse, la rendant dure et douloureuse. Dans les cas graves, une nouvelle opération peut être nécessaire pour retirer ou remplacer la prothèse.

    Considérations Post-Opératoires

    Après l'opération, il est essentiel de suivre les instructions post-opératoires fournies par le chirurgien. Voici quelques recommandations générales :

    • 1. Repos : Il est conseillé de prendre quelques jours de repos et d'éviter les activités physiques intenses pendant plusieurs semaines.
    • 2. Suivi médical: Des rendez-vous de suivi sont cruciaux pour garantir que la guérison se déroule correctement sans complications.
    • 3. Gestion de la douleur : Des analgésiques peuvent être prescrits pour gérer la douleur après l’intervention.
    • 4. Port de soutien-gorge : Un soutien-gorge de compression peut être recommandé pour soutenir les seins pendant la période de guérison.

     Conclusion

    L’augmentation mammaire tunisie est une procédure qui peut transformer la vie de nombreuses femmes, en leur offrant la possibilité d'améliorer leur apparence physique et leur confiance en elles. Cependant, il est crucial de bien s'informer sur les différents types de prothèses, le déroulement de l'opération, ainsi que les risques potentiels associés. Une consultation approfondie avec un chirurgien qualifié est essentielle pour prendre une décision éclairée et s'assurer que l'intervention répond aux attentes du patient tout en respectant sa santé. Au final, le choix d'une augmentation mammaire tunisie doit être personnel et réfléchi, prenant en compte non seulement les résultats escomptés, mais aussi les implications à long terme pour la santé et le bien-être général.


    La chirurgie esthétique des seins en Tunisie avec Esthetika Queen

    L’hypoplasie mammaire est définie par un volume de seins insuffisamment développés par rapport à la morphologie de la patiente. Elle peut être la conséquence d’un développement insuffisant de la glande à la puberté, ou apparaître secondairement par perte du volume glandulaire (grossesse, amaigrissement, perturbations hormonales…). Le manque de volume peut aussi être associé à une ptôse (poitrine « tombante  » avec affaissement de la glande, distension de la peau et aréoles trop basses). Cette hypotrophie est souvent mal acceptée physiquement et psychologiquement par la patiente qui le vit comme une atteinte à sa féminité, avec pour corollaire une altération de la confiance en soi et un mal-être, parfois profond, pouvant aller jusqu’au véritable complexe. C’est pourquoi, l’intervention se propose d’accroître le volume d’une poitrine jugée trop petite grâce à l’implantation de prothèses.

    L’intervention peut se pratiquer à tout âge à partir de 18 ans. Une patiente mineure n’est habituellement pas estimée apte à subir une augmentation mammaire tunisie esthétique. Elle est cependant possible dans les cas d’hypoplasies sévères ou dans le cadre de reconstruction comme les seins tubéreux ou les agénésies mammaires. Cette chirurgie à visée purement esthétique ne peut bénéficier d’une prise en charge par l’assurance maladie. Seuls quelques rares cas d’agénésie mammaire vraie (absence radicale de tout développement mammaire) peuvent parfois espérer une participation de la sécurité sociale après entente préalable.

    Les implants mammaires actuellement utilisés sont composés d’une enveloppe et d’un produit de remplissage.
    L’enveloppe est toujours constituée d’un élastomère de silicone. En revanche, les prothèses diffèrent par leur contenu,
    c’est-à-dire le produit de remplissage contenu au sein de l’enveloppe.
    L’implant est dit prérempli lorsque le produit de remplissage a été incorporé en usine (gel et/ou sérum physiologique).
    La gamme des différents volumes est donc fixée par le fabricant.
    Les implants gonflables au sérum physiologique sont remplis par le chirurgien qui peut adapter dans une certaine mesure le volume de la prothèse pendant l’intervention.

    LES IMPLANTS PRÉREMPLIS DE GEL DE SILICONE DE NOUVELLE GÉNÉRATION


    La grande majorité des prothèses actuellement posées en France et dans le monde sont préremplies de gel de silicone.

    Ces implants, utilisés depuis plus de 40 ans, ont fait la preuve de leur innocuité et de leur excellente adaptation à ce type de chirurgie car ils sont très proches de la consistance d’un sein normal. Ils ont par ailleurs bien évolué, en particulier à la fin des années 1990, afin de corriger les faiblesses que l’on pouvait leur reprocher. Aujourd’hui, tous les implants disponibles en France sont soumis à des normes précises et rigoureuses : marquage CE (communauté européenne) + autorisation de l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé).

     

    Ils sont composés de gel de silicone souple, entouré d’une
    enveloppe étanche, solide et élastique en élastomère de
    silicone qui peut être lisse ou texturée (rugueuse).
    Les évolutions marquantes des nouveaux implants, leur
    conférant une meilleure fiabilité, concernent tant les enveloppes
    que le gel lui-même :

    • les enveloppes, dont la paroi est aujourd’hui beaucoup plus solide, empêchent la « transpiration» du gel vers l’extérieur (qui était une source importante de coques) et ont une résistance
      à l’usure très supérieure ;
    • les gels de silicone « cohésifs », dont la consistance est moins
      fluide, limitent beaucoup le risque de se répandre en cas de rupture de l’enveloppe. À côté de cette amélioration de la fiabilité, la nouvelle génération d’implants en silicone se caractérise aussi par la grande diversité de formes actuellement disponibles, permettant une adaptation personnalisée à chaque cas. Ainsi, à côté des classiques prothèses rondes sont apparus des implants
      «anatomiques » profilés en forme de goutte d’eau, plus ou moins hauts, larges ou projetés.
      Cette grande diversité de formes, associée à un large choix de volumes, permet d’optimiser et d’adapter le choix, presque « sur mesure», des prothèses en fonction de la morphologie de la patiente et de ses attentes personnelles.


    LES AUTRES TYPES D’IMPLANTS

    Les enveloppes des prothèses sont toujours en élastomère de silicone, c’est le produit de remplissage qui diffère. À ce jour en France, seules deux alternatives au gel de silicone sont autorisées :

    • Sérum physiologique : Il s’agit d’eau salée (constituant à 70 % du corps humain). Ces prothèses peuvent être «préremplies» (en usine) ou «gonflables » (par le chirurgien durant l’intervention). Du fait de leur contenu liquidien (et non gélatineux), elles ont une consistance peu naturelle, forment beaucoup plus de «plis» perceptibles au toucher, voire visibles, et peuvent souvent être
      victimes de dégonflement brutal et parfois précoce.
    • Hydrogel : C’est la toute dernière substance ayant reçu en 2005 son homologation par l’Afssaps. Il s’agit d’un gel aqueux, composé en grande partie d’eau gélifiée par un dérivé de cellulose. Ce gel, de consistance plus naturelle que le sérum physiologique, est lui aussi résorbable par l’organisme en cas de rupture de l’enveloppe.

    AVANT L’INTERVENTION


    En fonction de ce contexte anatomique, des préférences et habitudes du chirurgien, et des désirs exprimés par la
    patiente, une stratégie opératoire aura été convenue. Seront ainsi prédéterminés l’emplacement des cicatrices, le type et la taille des implants ainsi que leur positionnement par rapport

    au muscle.
    Un bilan sanguin préopératoire sera réalisé conformément aux prescriptions.
    Le médecin anesthésiste sera vu en consultation, au plus tard 48 heures avant l’intervention. Un bilan radiologique du sein est prescrit (mammographie, échographie).
    L’arrêt du tabac est vivement recommandé au moins un mois
    avant et un mois après l’intervention (le tabac peut être à l’origine d’un retard de cicatrisation). Aucun médicament contenant de l’aspirine ne devra être pris dans les dix jours précédant l’opération. On vous demandera probablement de rester à jeun (ne rien
    manger ni boire) six heures avant l’intervention.

    TYPE D’ANESTHÉSIE
    ET MODALITÉS D’HOSPITALISATION

    Type d’anesthésie :

    Il s’agit le plus souvent d’une anesthésie générale classique, durant laquelle vous dormez complètement. Dans de rares cas, une anesthésie «vigile» (anesthésie locale approfondie par des tranquillisants administrés par voie intraveineuse) pourra cependant être utilisée (à discuter avec le chirurgien et l’anesthésiste).

    Modalités d’hospitalisation :

    L’intervention justifie habituellement une hospitalisation d’une journée. L’entrée s’effectue alors le matin (ou parfois la veille dans l’après-midi)
    et la sortie est autorisée dès le lendemain. Toutefois, dans certains cas, l’intervention peut se pratiquer en « ambulatoire», c’est-à-dire avec une sortie le jour même après quelques heures de surveillance.


    L’INTERVENTION

    Chaque chirurgien adopte une technique qui lui est propre et qu’il adapte à chaque cas pour obtenir les meilleurs résultats. Toutefois, on peut retenir des principes de base communs :

    Incisions cutanées :
    Il existe plusieurs « voies d’abord » possibles : 

    • voies aréolaires, avec incision dans le segment inférieur de la circonférence de l’aréole, ou ouverture horizontale contournant
      le mamelon par-dessous (1 et 2)
    • voie axillaire, avec incision sous le bras, dans l’aisselle (3) ;
    • voie sous-mammaire, avec incision placée dans le sillon situé sous le sein (4).

    Le tracé de ces incisions correspond bien sûr à l’emplacement des futures cicatrices, qui seront donc dissimulées dans des zones de jonction ou des replis naturels.
    Mise en place des prothèses
    En passant par les incisions, les implants peuvent alors être introduits dans les loges réalisées. Deux positionnements sont possibles :

    • prémusculaire, où les prothèses sont placées directement
      derrière la glande, en avant des muscles pectoraux
    • rétromusculaire, où les prothèses sont placées plus
      profondément, en arrière des muscles pectoraux.

     

    Le choix entre ces deux emplacements, avec leurs avantages et inconvénients respectifs, aura été discuté avec votre
    chirurgien.


    Gestes complémentaires

    En cas de ptôse mammaire associée (seins tombants, aréoles basses), on a vu qu’il pouvait être souhaitable de réduire l’enveloppe cutanée du sein afin de le faire remonter («mastopexie»). Cette résection de peau se traduira alors par des cicatrices plus importantes (autour de l’aréole ± verticale).

    Drains et pansement

    Un petit drain peut être mis en place en fonction des habitudes du chirurgien. C’est un dispositif destiné à évacuer le sang qui pourrait s’accumuler autour des prothèses.
    En fin d’intervention, un pansement «modelant » est réalisé avec un bandage élastique.
    En fonction du chirurgien, de la voie d’abord et de la nécessité éventuelle de gestes complémentaires associés, l’intervention peut durer une heure à deux heures trente.


    APRÈS L’INTERVENTION : LES SUITES OPÉRATOIRES

    Les suites opératoires peuvent parfois être douloureuses les premiers jours, notamment lorsque les implants sont de gros volume et surtout s’ils sont placés derrière les muscles. Un traitement antalgique, adapté à l’intensité des douleurs, sera prescrit pendant quelques jours. Dans le meilleur des cas, la patiente ressentira une forte sensation de tension.
    Œdème (gonflement), ecchymoses (bleus) et gêne à l’élévation
    des bras sont fréquents les premiers temps.
    Le premier pansement est retiré après quelques jours. Il est alors remplacé par un pansement plus léger. Un soutien-gorge pourra alors être recommandé nuit et jour pendant quelques
    semaines. La plupart du temps, les fils de suture sont internes et résorbables. Dans le cas contraire, ils seront retirés au bout de quelques jours.
    Il convient d’envisager une convalescence avec interruption
    d’activité d’une durée de cinq à dix jours. Il est conseillé d’attendre un à deux mois pour reprendre une
    activité sportive.

    LE RÉSULTAT


    Un délai de deux à trois mois est nécessaire pour apprécier le résultat définitif. C’est le temps nécessaire pour que les seins aient retrouvé toute leur souplesse et que les prothèses se
    soient stabilisées.

    L’intervention aura permis une amélioration du volume et de la forme de la poitrine. Les cicatrices sont habituellement très discrètes. Le gain de volume mammaire a une répercussion sur la silhouette globale, permettant
    une plus grande liberté vestimentaire. Au-delà de ces améliorations physiques, le recouvrement d’une féminité
    pleine et entière a souvent un effet très bénéfique sur le plan psychologique.



    Le but de cette chirurgie est d’apporter une amélioration et non pas d’atteindre la perfection. Si vos souhaits sont
    réalistes, le résultat obtenu devrait vous donner une grande satisfaction.


    Stabilité du résultat

    Indépendamment de la durée de vie des prothèses (voir plus loin) et exception faite de la survenue d’une variation importante de poids, le volume des seins restera stable à long terme. Toutefois, en ce qui concerne la forme et la « tenue » de la poitrine, les seins «augmentés» subiront, comme des seins naturels, les effets de la pesanteur et du vieillissement, avec une rapidité variable en fonction de l’âge et des qualités de soutien de la peau, mais aussi du volume des implants.

    LES IMPERFECTIONS DE RESULTAT

    Certaines imperfections peuvent se rencontrer occasionnellement :

    • une asymétrie de volume résiduelle, incomplètement corrigée malgré des implants de taille différente ;
    • une fermeté un peu trop grande avec souplesse et mobilité jugées insuffisantes (surtout avec de gros implants) ;
    • un aspect un peu artificiel, notamment chez les patientes très maigres, avec une trop grande visibilité des bords de la prothèse, en particulier dans le segment supérieur ;
    • la perceptibilité au toucher des implants est toujours possible, surtout quand l’épaisseur de la couverture tissulaire (peau + graisse + glande) recouvrant la prothèse est faible (a fortiori avec de gros implants).
    • l’aggravation d’une ptose mammaire peut être observée, surtout en cas d’utilisation de volumineux implants.

     

    En cas d’insatisfaction, certaines de ces imperfections pourront éventuellement bénéficier d’une correction chirurgicale après quelques mois.


    QUESTIONS DIVERSES

    Grossesse/allaitement

    Après une mise en place de prothèses mammaires, une grossesse est envisageable sans aucun danger, ni pour la patiente ni pour l’enfant mais il est recommandé d’attendre au moins six mois après l’intervention. Pour ce qui concerne l’allaitement, il n’est pas non plus dangereux et reste possible
    dans la plupart des cas.


    Maladies auto-immunes

    Les très nombreux travaux scientifiques internationaux réalisés à grande échelle sur ce sujet ont unanimement apporté la preuve qu’il n’y a pas plus de risque de survenue de ce type de maladies rares chez les patientes porteuses d’implants (en particulier en silicone) que dans la population féminine générale.

    Cependant, dans le cadre du dépistage du cancer après implantation, l’examen clinique et la palpation peuvent être
    perturbés surtout en cas de coque périprothétique ou de siliconome. De même, la présence des implants peut gêner la réalisation et l’interprétation des mammographies de dépistage à faire régulièrement. Il faut donc systématiquement préciser que vous êtes porteuses d’implants mammaires. Ainsi, certaines techniques radiologiques spécialisées (incidences
    particulières, images numérisées, échographie, IRM, etc.) pourront être utilisées en fonction des cas. Par ailleurs, en cas de doute diagnostique sur un cancer du sein, il faut savoir que
    la présence de prothèses peut requérir une exploration plus invasive pour obtenir une certitude diagnostique.


    Durée de vie des implants

    Même si on peut voir certaines patientes conserver leurs implants plusieurs décennies sans modification majeure, il ne faut pas considérer la mise en place de prothèses mammaires comme quelque chose de définitif «à vie». Ainsi, une patiente porteuse d’implants peut s’attendre à devoir un jour remplacer
    ses prothèses afin que l’effet bénéfique soit maintenu. Les implants, quels qu’ils soient, ont une espérance de vie incertaine qu’il est impossible d’estimer précisément puisqu’elle dépend
    de phénomènes d’usure de rapidité variable. La durée de vie
    des implants ne peut donc en aucun cas être garantie.
    Il faut noter toutefois que les implants de nouvelle génération
    ont fait de gros progrès en terme de résistance et de fiabilité.
    A partir de la dixième année, il faudra se poser la question du changement de prothèses si apparaît une modification de consistance.


    Surveillance

    Il est essentiel de se soumettre aux visites de contrôle prévues par votre chirurgien dans les semaines puis les mois qui suivent l’implantation. Ultérieurement, la présence des implants ne soustrait pas à la surveillance médicale habituelle (suivi gynécologique et dépistage du cancer du sein), même si elle ne nécessite pas de faire réaliser des examens en plus de ceux liés à cette surveillance. Il est pour autant indispensable de spécifier aux différents médecins intervenant que vous êtes porteuse de prothèses mammaires. Une consultation de surveillance, spécifique aux implants,
    auprès de votre chirurgien plasticien est conseillée tous les deux à trois ans, mais, en dehors de ce suivi, il est surtout fondamental de venir consulter dès qu’une modification d’un ou des deux seins est détectée ou après un traumatisme violent.

    LES COMPLICATIONS ENVISAGEABLES

    Une augmentation mammaire prix tunisie par prothèses, bien que réalisée pour des motivations essentiellement esthétiques, n’en reste pas moins une véritable intervention chirurgicale, ce qui implique les risques liés à tout acte médical aussi minime soit-il.
    Il convient de distinguer les complications liées à l’anesthésie de celles liées au geste chirurgical :
    en ce qui concerne l’anesthésie, lors de la consultation préopératoire obligatoire, le médecin anesthésiste informera lui-même la patiente des risques anesthésiques. Il faut savoir
    que l’anesthésie, quelle qu’elle soit, induit dans l’organisme des réactions parfois imprévisibles et plus ou moins faciles à maîtriser.



    Toutefois, en ayant recours à un anesthésiste - réanimateur
    compétent, exerçant dans un contexte réellement chirurgical, les risques encourus sont devenus statistiquement très faibles. Il faut en effet garder à l’esprit que les techniques, les produits anesthésiques et les méthodes de surveillance ont fait d’immenses progrès ces trente dernières années, offrant une
    sécurité optimale, surtout quand l’intervention est réalisée en dehors de l’urgence et chez une personne en bonne santé ;


    en ce qui concerne le geste chirurgical,

    en choisissant un chirurgien plasticien qualifié et compétent, formé à ce type d’intervention, vous limitez au maximum ces risques, sans toutefois les supprimer complètement. En pratique, la grande majorité des augmentations mammaires réalisées dans les règles se passe sans aucun problème, les suites opératoires sont simples et les patientes sont pleinement satisfaites de leur résultat. Pourtant, parfois, des
    complications peuvent survenir au décours de l’intervention, certaines inhérentes au geste chirurgical mammaire et d’autre spécifiquement liées aux implants :


    Complications inhérentes au geste chirurgical mammaire

     

    Epanchements, infection

    • - hématome :

    l’accumulation de sang autour de la prothèse est une complication précoce pouvant survenir au cours des premières heures. S’il est important, une reprise au bloc opératoire est alors préférable afin d’évacuer le sang et de stopper le saignement à son origine ;

    • - épanchement séreux :

    une accumulation de liquide lymphatique autour de la prothèse est un phénomène assez fréquent, souvent associé à un œdème important. Il se traduit simplement par une augmentation transitoire du volume mammaire. Il disparaît spontanément et progressivement ;

    • - infection :

    rare après ce type de chirurgie. Elle peut ne pas être résolue par le seul traitement antibiotique et impose alors une reprise chirurgicale pour drainage et ablation de l’implant pendant quelques mois (temps nécessaire avant de pouvoir remettre en place une nouvelle prothèse sans risque).

    On peut par ailleurs citer trois autres formes particulières
    d’infection :

    • - infection tardive « à bas bruit » :

    il s’agit d’une infection avec peu de symptômes et sans traduction évidente à l’examen, qui peut survenir parfois plusieurs années après l’implantation;

    • - microabcès :

    plus fréquents, ils se développent sur un point de suture et se résorbent rapidement après ablation du fil incriminé et soins locaux ;- choc toxique staphylococcique de rarissimes cas de ce syndrome infectieux généralisé brutal ont été rapportés.

    Nécrose cutanée

    Elle est consécutive à un manque d’oxygénation tissulaire dû à une insuffisance d’apport sanguin localisé, qui peut être favorisé par une tension excessive, un hématome, une infection ou un tabagisme important chez la patiente. Il s’agit d’une complication très rare mais redoutée car, à l’extrême, elle peut localement mettre à nu la prothèse, notamment par une désunion des sutures. Une reprise chirurgicale s’impose souvent, avec parfois la nécessité de retirer provisoirement l’implant.

    Anomalies de cicatrisation

    Le processus de cicatrisation mettant en jeu des phénomènes
    assez aléatoires, il arrive parfois que les cicatrices ne soient pas,
    à terme, aussi discrètes qu’escompté, pouvant alors prendre des aspects très variables : élargies, rétractiles, adhérentes, hyper ou hypopigmentées, hypertrophiques (boursouflées), voire exceptionnellement chéloïdes.

    Altération de la sensibilité

    Elles sont fréquentes les premiers mois mais finissent la plupart
    du temps par régresser. Rarement toutefois, un certain degré
    de dysesthésie (diminution ou exagération de la sensibilité
    au toucher) peut persister, en particulier au niveau de l’aréole
    et du mamelon.

    Galactorrhée/épanchements lactés

    Il a été rapporté de très rares cas de stimulation hormonale
    postopératoire inexpliquée, se traduisant par une sécrétion
    de lait («galactorrhée») avec parfois une collection du liquide
    autour de la prothèse.

    Pneumothorax

    Très rare, il bénéficiera d’un traitement spécifique.

    Risques spécifiquement liés aux implants

    Formation de « plis » ou aspect de «vagues »


    Les implants étant souples, il est possible que leur enveloppe se plisse et que ces plis soient perceptibles au toucher, voire même visibles sous la peau dans certaines positions, donnant alors un aspect de vagues.
    Ce phénomène survient le plus souvent chez des patientes minces, et peut être traité par une intervention de lipomodelage qui consiste à apposer une fine couche de graisse sous la peau du sein afin de «camoufler» l’implant.

    «Coques »


    La réaction physiologique, normale et constante de l’organisme humain en présence d’un corps étranger, est de l’isoler des tissus environnants en constituant une membrane hermétique qui va entourer l’implant et qu’on appelle « capsule périprothétique ». Normalement, cette membrane est fine,
    souple et imperceptible, mais il arrive que la réaction s’amplifie et que la capsule s’épaississe, devienne fibreuse et se rétracte en comprimant l’implant, prenant alors le nom de
    « coque». Selon l’intensité du phénomène, il peut en résulter:
    un simple raffermissement du sein, une constriction parfoisn gênante, voire une déformation visible avec globulisation
    de la prothèse aboutissant à l’extrême à une sphère dure, douloureuse, plus ou moins excentrée.
    Cette fibrose rétractile est parfois secondaire à un hématome
    ou une infection, mais la plupart du temps sa survenue reste imprévisible, résultant de réactions organiques aléatoires. De gros progrès ont été réalisés ces dernières années en matière
    de techniques chirurgicales, mais surtout de conception et de
    constitution des implants, aboutissant à une diminution très
    sensible du taux de coques et de leur intensité. Le cas échéant, une réintervention peut corriger une telle contracture par section de la capsule («capsulotomie»).

    Rupture

    On a vu que les implants ne peuvent être considérés comme définitifs. Une perte d’étanchéité de l’enveloppe peut donc survenir à terme. Il peut s’agir d’une simple porosité, d’ouvertures punctiformes, de microfissurations, voire de véritables brèches. Cela peut être, très rarement, la conséquence d’un
    traumatisme violent ou d’une piqûre accidentelle et, beaucoup plus souvent, le résultat d’une usure progressive de la paroi due à l’ancienneté.
    Dans tous les cas, il en résulte une issue possible du produit de remplissage de la prothèse, avec des conséquences différentes selon la nature de ce contenu :

    • avec le sérum physiologique ou l’hydrogel résorbables, on assiste à un dégonflement partiel ou total, rapide ou lent ;
    • avec le gel de silicone (non résorbable), celui-ci va rester
      contenu au sein de la membrane qui isole la prothèse. Cela peut alors favoriser l’apparition d’une coque, mais peut aussi rester sans conséquence et passer totalement
      inaperçu. Dans certains cas devenus beaucoup plus rares (notamment du fait de la meilleure « cohésivité» des gels actuels), on peut toutefois assister à une pénétration progressive du gel dans les tissus environnants.
      La rupture prothétique impose, le plus souvent, une intervention visant à changer les implants.

    Malposition, déplacement

    Un mauvais positionnement, ou le déplacement secondaire des implants, affectant alors la forme de la poitrine, peuvent parfois justifier une correction chirurgicale.

    Rotation

    Bien que relativement rare en pratique, le pivotement d’une prothèse «anatomique» reste théoriquement possible et peut affecter le résultat esthétique.

    Déformation de la paroi thoracique

    Dans de rares cas, des prothèses avec coques fibreuses, laissées longtemps en place, peuvent «s’imprimer» dans les tissus, laissant lors de leur ablation une déformation de la paroi thoracique délicate à corriger.

    Sérome tardif péri-prothétique

    Dans de très rares cas peut survenir, autour de la prothèse, un
    épanchement tardif qui peut nécessiter une ponction guidée
    par échographie avec réalisation d’une culture et d’une étude
    cytologique appropriée.
    L’étude cytologique a pu mettre en évidence, encore plus
    rarement, des cellules lymphomateuses qui imposent alors
    l’ablation de la capsule fibreuse péri-prothique, bien que l’on
    ne soit pas certain qu’il y ait un rapport entre cette réaction
    et l’implant mammaire.